Pris de désir les
chevaux épris de désir
marteaux sur la
terre
ils galopent
entends !
même ensemble
de froid et de
regrets
je tremble
puis vint le soir
le soir de pleine
lune
de lune et de
ténèbres
et les navires
sombrent
ils sombrent dans
le noir
des plus beaux
jours
les jours de
désamour
vivre est
mystérieux
les cœurs vont et
viennent
et le sang dans
les veines
les choses sous
nos yeux
voguent et bougent
à peine
là-haut sur le
clocher
on voudrait ne pas
trébucher
et le sang dans
les veines
sonne sonne les
cloches
Pris de désir les
chevaux épris de désir
marteaux sur la
terre
galopent ils
s'envolent, entends !
nous irons voir le
fleuve
le fleuve qui
s'emporte
les péniches qui
transportent
les cargaisons
inutiles, et les écluses
sur le fleuve
allemand
nous irons voir le
fleuve
le fleuve qui
chavire
les vivaces et les
passagers
les eaux et les
bateaux
le grand fleuve
allemand
il s'éloigne il
s'éloigne
Pris de désir les
chevaux épris de désir
marteaux sur la
terre
ils galopent !
viens !
mars-avril
2015
Je sais que là ce n'est pas une chanson, mais moi, ça me fait penser à du Manset.
RépondreSupprimerJ'aime !!
J'ai dû battre le record de vitesse de commentaire sur ce blog, là, non ?
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